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 Des frissons par cette mélodie.. (Tristan B.)

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Junn E. Bukatter
Junn E. Bukatter
Falling Stars.


▌ AVATAR? : Ashley Olsen
▌MES MESSAGES : 187
▌ DATE D'INSCRIPTION : 13/08/2009
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MessageSujet: Des frissons par cette mélodie.. (Tristan B.)   Des frissons par cette mélodie.. (Tristan B.) I_icon_minitimeVen 14 Aoû - 13:58

# __ Puisse cette mélodie te faire avoir des frissons.
Spoiler:

    Junn était maintenant arrivée depuis deux jours à LiR. Tout était si grand et beau et surtout nouveau que la blondinette avait du mal à ne pas se perdre. Surtout qu’après être arrivée, la première chose qu’elle avait fait avait été d’aller à sa chambre au campus pour poser ses affaires et se mettre à l’aise. Mais comme aujourd’hui était une belle journée et qu’elle était bien curieuse de faire un tour de l’établissement, la miss avait décidé de faire une pause dans son rangement et d’aller visiter. Après être revenue au rez-de-chaussé et avoir faire un tour rapide à la bibliothèque et la salle d’informatique, Junn se dirigea vers le premier étage et se fit discrète pour sa petite balade. Elle passa devant une immense cafétéria remplie de monde ; des odeurs délicieuses et alléchantes s’échappant de la salle, elle fut tenter d’aller y faire un tour mais s’y refusa au dernier moment, se rappelant qu’elle avait autre chose à faire que se remplir le ventre. Junn se dirigea donc vers un long couloir bien éclairé où une masse de gens grouillait. Elle se sentit soudain bien petite et serra son sac en bandoulière contre elle, s’excusant presque à chaque pas de bousculer quelqu’un. Bizarrement, la foule restait du coté des premières salles où Junn arriva à lire sur les portes “Salle d’enregistrement”, “Salles des Guitares”, ou encore “Salle des Basses”. Bah dis donc, y’en avait des choses. Apeurée au faite de se retrouver entourée d’une bande de musicien, Junn continua à avancer, en espérant trouver une salle pour jouer du piano ou alors regarder les autres. Mais hors de questions de se présenter devant un monde comme ça. Heureusement, la dernière salle fut la bonne. Junn prit une inspiration et poussa la porte. 


    « Oh mon dieu y’en a combien ?! », s’écria-t-elle en entrant dans la salle vide.

    Jamais Junn n’avait touché à un autre piano que le sien. Mais pour faire arriver celui qu’elle avait depuis toute petite de Londres jusqu’à Las Vegas, c’était pas gagné du tout. Donc en attendant de s’acheter un synthe pour sa chambre, miss Bukatter avait décidé d’aller s’entraîner à la salle de musique.
    Elle était entourée de plus d’une dizaine de piano de tous les styles. Ça pour sur, il y en avait pour tous les goûts. La demoiselle sourit, referma la porte derrière elle et se mit à marcher entre les piano, faisant glisser ses doigts fins sur les touches de ceux qui passaient à sa portée. Junn enleva le sac en bandoulière qu’elle avait ainsi que la petite veste fine qu’elle portait sur ses épaules puis elle fini par s’installer devant un piano à queue d’un blanc magnifique. Elle commença par s’échauffer un peu en jouant une rapide mélodie de base et testa aussi le son de l’instrument. Il faisait des sons si mélodieux que Junn en eut des frissons dans tout le corps.

    « Quel beau son... Je suis sur que je peux me faire des frissons avec une mélodie douce... », murmura-t-elle avec un sourire paisible.



    Ses doigts se mirent à glisser et Junn se mit à jouer “Clair de Lune” de Beethoven. Ses yeux se refermèrent lentement, ses doigts connaissant parfaitement les touches sur lesquels il fallait jouer.
    Et avec le son si doux du piano, elle n’avait même pas entendu que la porte de la salle avait été poussé, elle restait concentré sur ce qu’elle jouait tendrement.
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Tristan N. Bekerley
Tristan N. Bekerley


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MessageSujet: Re: Des frissons par cette mélodie.. (Tristan B.)   Des frissons par cette mélodie.. (Tristan B.) I_icon_minitimeDim 20 Sep - 12:43


L'antipathie analyse mieux, mais
la sympathie seule comprend.

André Siegfried



junn & tristan
Des frissons par cette mélodie ...





    Une douce odeur planait dans la chambre d'internat de Tristan ; une sorte de mélange entre transpiration, alcool, cigarette et mouillé pouvait chatouiller singulièrement les narines de n'importe quelle personne entrant dans cet antre. Ce n'est pas impossible que cette odeur soit la raison pour laquelle la forme quelque peu humaine sous les draps du lit défait plus couramment appelée Tristan n'ait pas réussi à dormir jusque là. Ce n'est également pas impossible que le principal fautif de tout ceci soit une fois de plus son cher ami Alexander, mais il faut aussi avouer que le faible qui a accepté une fois de plus de participer à tout ça reste tout de même Tristan. C'est donc dans une position désagréable ( dans le sens propre aussi bien qu'au figuré ) que le sombre adolescent s'éveillait d'une nuit bien trop courte.

    « Je m'éveille difficilement et déjà, une migraine m'assaille. Une paupière s'ouvre, puis l'autre, un son ardent s'empare de mon esprit. Je ne sais pas vraiment si j'ai le courage de me lever cette fois-ci, mais le temps passe tellement lentement lorsqu'on essaye en vain de s'endormir. Je décide alors un peu contre moi-même de me lever, mon réveil m'indiquant avec une aigreur injuste les dix heures passées.

    Avec un long soupir désespéré - plus que significatif - je posais avec le peu de douceur que je pouvais me permettre les pieds sur le sol froid. Une grimace s'inscrivait sur mon visage au fur et à mesure que je recouvrai mes sens : l'odorat d'abord, avec le parfum terrible qui planait, puis la vue, gentiment agrémentée d'un énorme capharnaüm sous une lumière artificielle, l'ouïe, simplement dérangée d'un tambourinement incessant, le toucher, encombré de désagréables sensations et enfin le goût, animé d'un rappel de l'écœurante haleine du lendemain matin. Je me dirigeai alors automatiquement vers la fenêtre, afin d'aérer, ne serait-ce qu'un peu, la chambre puis je partais pour la douche. »

    Éclipse.

    « Après avoir longuement travaillé le dernier solo que j'étais en train d'étudier, je sortais de la salle des guitares, bien trop remplie à mon goût. J'observais les alentours, les couloirs surpeuplés et me demandais encore pourquoi je m'étais levé. J'avançais en m'excusant avec antipathie auprès des personnes que je bousculais, je cherchais avec entrain la salle des claviers. Seul endroit que je savais à cette heure-là bien moins fréquenté que les autres. Après tout, jouer une petite mélodie au piano me ferait peut-être du bien et au pire, je doutais que cette visite me tue.

    Au fur et à mesure que j'avançais, la densité de monde faiblissait et je me trouvais vite devant la porte de la salle. Une mélodie qui m'était connue se jouait à l'intérieur, et vu que je n'entendais que ce son, j'imaginais qu'il n'y avait qu'une personne. En entrant - dans un silence respectueux - je m'apercevais que j'avais raison. Une jeune femme d'à peu près mon âge jouait les yeux fermés la Sonate au Clair de Lune de Beethoven. Elle semblait hypnotisée par l'air si entraînant de la Sonate, elle jouait bien, très bien même. Je décidais de m'asseoir en face d'elle, de profiter du spectacle, le temps d'un instant. Ses cheveux bougeaient au rythme de la musique et mes nerfs se détendaient. Je me demandais si elle s'était rendu compte que quelqu'un était entré, apparemment pas. Peut-être que j'aurais dû le lui signaler, sûrement, mais je n'avais aucune envie de le faire. Mon passage préféré approchait à grands pas et déjà la chair de poule m'assaillait. Les frissons me parcouraient de toutes parts, j'étais transporté. Mais ce statut ne fut que temporaire, le morceau prenait fin. »
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Junn E. Bukatter
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MessageSujet: Re: Des frissons par cette mélodie.. (Tristan B.)   Des frissons par cette mélodie.. (Tristan B.) I_icon_minitimeDim 20 Sep - 13:21

La parole est d'argent et le silence est d'or


    Les dernières notes du morceau résonnèrent étrangement dans la salle de musique plus si vide que ça. Junn, parfaitement détendue à présent, garda les yeux fermés et se mit à sourire. Jouer ce morceau lui rappela un été qu’elle avait passé avec ses parents dans une maison de location en bord de mer ; le cottage avait été spécialement équipée d’un piano pour la demoiselle, sur demande de sa mère. La surprise avait donné les larmes aux yeux à l’enfant qui n’était alors âgée que de 13 ans. Elle avait été si agréablement surprise qu’elle s’était aussitôt mise à jouer pour remercier ses parents de leur cadeau. Et c’était ce morceau là qu’elle avait choisi, car la nuit tombait à ce moment-là sur le littoral. 
Elle baissa la tête et ouvrit les yeux, son regard dirigé sur ses mains qui étaient encore posées sur les touches du piano. Son cœur se serra ; ses parents lui manquaient un peu, maintenant qu’elle y pensait. Les revoir lui ferait tellement plaisir... Et elle leur jouerai encore un morceau et puis d’autres.
    Junn continuait de sourire et elle releva la tête.



    Alors, elle le vit.



    Ses yeux s’agrandir de surprise, elle eut un petit sursaut. La première question qui germa dans son esprit fut : « Depuis combien de temps est-il ici ? Il m’a entendu jouer tout le morceau ? ». Junn devint soudainement rouge de honte, elle sourit de façon gênée et se releva aussitôt, attrapant du bout du bras sa veste et son sac en bandoulière. Gênait-elle ? Ce jeune homme voulait-il jouer aussi du piano, à celui qu’elle avait occupé jusqu’à présent ?



    - Eumh... Bonjour, fit-elle d’une petite voix, si vous voulez jouer à ce piano vous pouvez, je-j’avais fini de toutes façons, poursuivit-elle.



    Et elle ne sut pas quoi rajouter. Elle en vint alors à se demander si elle pouvait quand même rester ? Après tout, ce n’était pas interdit. Et puis si lui était resté ici à l’écouter jouer, elle avait bien le droit de faire la même chose. En plus de ça, Junn était bien curieuse de connaître le niveau du jeune homme.
    Elle resta alors plantée là, debout, en face de lui, rouge comme une tomate, à se demander quoi faire. Et malgré qu’elle fut timide, elle le détailla discrètement du coin de l’œil. Il était plutôt mignon, il avait l’air assez maigre aussi. Son style vestimentaire reflétait l’image d’un rockeur solitaire qui aimait faire la fête. Et il avait d’ailleurs la tête de quelqu’un qui avait passé une nuit bien courte ; sûrement à cause des cernes violettes qui marquaient le dessous de ses yeux. Ses cheveux étaient bruns froncés, coiffés de façon un peu désordonné et enfin, il arborait l’esquisse d’un sourire. Junn eut un petit froncement de sourcil, une demi seconde, juste le temps de se demander ce qui pouvait bien amuser le jeune homme. Le manque d’assurance de la blondinette ? Elle espérait néanmoins se tromper...
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Tristan N. Bekerley
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MessageSujet: Re: Des frissons par cette mélodie.. (Tristan B.)   Des frissons par cette mélodie.. (Tristan B.) I_icon_minitimeDim 27 Sep - 2:38

Des frissons par cette mélodie.. (Tristan B.) 120l1y0 Des frissons par cette mélodie.. (Tristan B.) 11qjs79
« Une vraie rencontre, une rencontre décisive,
c'est quelque chose qui ressemble au destin. »
Tahar Ben Jelloun


    « Un sourire qui lui donnait des airs d'ange s'était placé en délicatesse sur son visage. Même après avoir fini de jouer, elle avait gardé les yeux fermés, me laissant une étrange appréhension concernant ses pupilles. Et quand enfin, il put découvrir ce qu'il se cachait sous ces paupières délicatement foncées, il fut fasciné par le vert jade presque gris de ses yeux. Puis elle me remarqua d'un air surpris, sursautant de surcroît, et moi je souriais, amusé. J'observais dans une joyeuse analyse ses joues rougir.

    « - Euhm ... Bonjour, fit-elle d'abord, d'une voix timide, si vous voulez jouer à ce piano vous pouvez, je-j’avais fini de toute façon. »

    Pendant qu'elle prononçait ces paroles de sa voix agréablement hésitante, je continuais de la détailler, assez discrètement : Des boucles blondes encadraient son visage avec grâce et étaient coiffées d'une manière harmonieuse; ses yeux clairs étaient mis en valeur par maquillage réussi; sa bouche était pulpeuse et d'une belle couleur tandis que le reste de ses traits la rendait d'autant plus belle. De plus elle avait une silhouette fine, gracieuse et une taille superbe. »

    Le jeune homme sortait enfin de sa clairvoyance pour en retourner à la jeune fille. Elle n'était pas moins gênée qu'il y a une minute, voir plus. Ça l'amusait davantage et il souriait encore. Puis elle sembla, le temps de quelques micro-secondes, se vexer, fronçant les sourcils. Il songea alors qu'il était sûrement temps de répondre.

    « - Ce n'était pas la peine de vous arrêter, je peux jouer sur un autre piano. dit-il avec un sourire bienveillant. »

    Des souvenirs des dernières notes qu'elle avait jouées se faisaient sentir partout dans ses songes et le calme qui l'envahissait une seconde fois était bien plus plaisant que cent doses de nicotine. Le sourire qu'il portait était si peu habituel et pourtant il pouvait paraître tout à fait naturel à cet instant, tout simplement parce qu'il l'était. Cette sensation de bonheur n'était pas artificielle et pour une fois, il ne devait pas se forcer à sourire pour pouvoir en avoir l'air.

    « - C'était une très belle interprétation. rajouta-t-il. »

    « Je n'avais aucune idée du lieu dans lequel je plongeai et le meilleur, c'était que je n'en avais strictement rien à faire. Je souriais, je rigolais, j'étais aimable et disait même des compliments sans le savoir, je me demandais aussi si je n'avais pas attrapé une maladie ou quelque chose du genre. J'avais oublié jusque là à quel point cela pouvait être délicieux de profiter d'un morceau.

    Je décidais après quelques secondes d'évasion en plus de me mettre à ce que j'avais prévu au départ, c'est-à-dire de jouer. Ça faisait un petit moment que je n'avais pas touché à un piano. Ma guitare occupait toute la place dans emploi du temps.

    « - Vous n'êtes pas obligée de partir, désolée de vous avoir fait peur. »

    « Je m'approchais donc du piano avoisinant celui avec lequel l'inconnue avait joué récemment. Je m'asseyais, me redressais et inspirais puis entamait un échauffement, me remémorant les touches au fur et à mesure. Quand enfin je fus chauffé, je commençais le morceau. J'hésitais entre reprendre le morceau que la jeune fille aux bouclettes avait précédemment joué ou de rénover. Je décidais finalement de prendre La Valse D'Amélie de Yann Tiersen. »

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