Hell A. Standford ~ [Finish]

Am I the main attraction? ;
« give it all up for me »

▬ Nom complet : Hell Anna Standford
▬ Nationalité, Date & lieu de Naissance : Anglaise, 8 Octobre 1991
▬ Mon avis sur Las Vegas :

Un murmure d’admiration vint se perdre à travers le bruit de Sa Majesté La Nuit. Hell osait se confronter à elle, quelle insolence.
Sur les lèvres, un sourire naissait. Ses iris bleus étincelaient d’une joie non dissimulée : l’adrénaline se répandait dans son cœur jusqu’à la plus infime extrémité de son corps. Son cœur, affolé et réjouit battait comme lorsqu’elle se retrouvait sur scène face à un public et qu’on arrive alors à croiser pendant une chanson le regard d’un simple fan parmi tant d’autres.
Enfin, elle soupira gracieusement. Elle y était enfin. C’était illuminé, peut-être même trop. Mais peu importe, Hell découvrait avec émerveillement sa nouvelle ville.

Elle rayonnait de bonheur et éblouissait donc de ses rayons les habitants de Vegas. Pour le moment, en pleine nuit, une brise légère et fraîche, la faisait légèrement frissonner. Elle traversait les rues sans pour autant être pressée de découvrir l’endroit où elle logerait. Les gens maugréaient, et Hell allait de bon train, un sourire aux lèvres qu’elle offrait à la vue de n’importe quelles personnes. Oh, Vegas, ville de lumière et d’insomnies profondes. Quelle beauté ! Et tout ceci n’était rien comparé à ce qu’Hell espérait trouver dans cette ville où tous les rêves sont permis.

▬ Pourquoi " Let it Rock University " ? :

Ca nous a parut comme évidence, que c’était l’endroit qu’il nous fallait. Quand je dis « nous » je parle du groupe. Cet établissement sera un tremplin pour notre groupe - ou du moins, je l’espère - . Et puis partir sur un autre continent, c’était une idée excitante. Partir à l’aventure, du jour au lendemain pour le bien de « The Londonners ».

▬ Ma vie à " Let it Rock University " :

Malgré l'éloignement qu'elle entretenait involontairement envers le reste de sa famille, les répétitions occupaient la plupart de son temps. Concrètement, depuis son arrivée sa vie n'avait jamais été aussi mouvementée et active. Debout jusque très tard le soir, et lever à une heure bien trop matinale pour être raisonnable. Peu importe, Hell ne s'était jamais sentie aussi libre. Let it Rock... compliqué de se faire un nom dans cette école, pourtant de temps en temps quelques personnes venaient féliciter les cinq membres du groupe pour leur musique. C'était la première chose qu'ils étaient venus chercher : La Reconnaissance.

Dans une ville aussi active, et réveillée que Las Vegas, trouvée un endroit où jouer s'avéra être plus facile qu'à Londres. Toutes les semaines, se retrouver devant un public différent. Les sensations qui s'emparaient d'elle lorsqu'elle montait sur scène étaient toujours différentes, mais c'était tellement agréable ! Et les applaudissements du public étaient la plus belle récompense que des jeunes artistes pouvaient recevoir : La Célébrité.

Au fil du temps, les soirées et les fêtes s'accumulent. Les sorties en boite, aussi. Ce n'était en faite, qu'une petite dose de fun pour pimenter un peu plus sa vie. Hell rencontra beaucoup de gens, elle reconnait souvent les étudiants de Let It Rock, qu'elle avait croisé lors d'une soirée mais arrivait rarement à se souvenir de leur nom. Effet de l'alcool, ou simple trou de mémoire, peu importe : Les Strass.

▬ Mon groupe :« The Londonners »

▬ Traits de Caractère :

Hell a ses propres valeurs, son propre code moral, elle n'obéit à personne d'autre qu'à elle-même. C'est une fille particulièrement déjantée, et surtout, totalement imprévisible. Difficile de définir son caractère, étant donnée quelle peut être tout et son contraire. Elle agit comme bon lui semble, souvent par instinct, c'est le principal à retenir.
Les gens se méfient souvent d'elle car on ne peut pas vraiment lui faire confiance parce-qu'on ne sait jamais ce qu'elle pense. Elle vit dans un monde à part, ni blanc, ni noir, un monde gris. C'est donc une personne indépendante. La solitude ne lui déplait pas, mais elle préfère être entouré de monde. Il est difficile de capter réellement son attention car elle s'émerveille souvent pour un rien.

« Je te dévisage aussi longtemps que je le veux. De toute façon, c'est toi qui cédera en premier, tu verras. »

Et c'est ce qui finit la plupart du temps à arriver. Les gens baissent les yeux, pour ne plus avoir à soutenir son regard bleu et pétillant. Souvent, les gens ne se souviennent plus très bien du commencement de leur conversation avec Hell. La jeune fille divague sur beaucoup de sujets avec toujours beaucoup, voir trop, d'enthousiasme. Il arrive alors que les gens décrochent et ne l'écoute plus vraiment ce qui l'agace beaucoup. Mais elle ne s'en rend compte que lorsqu'elle s'interrompe et que les gens continuer d'acquiescer dans le vide.
En faite, lorsqu'ils décrochent, ils fixent ses lèvres, attiré comme un papillon vers une flamme, heureusement, Hell s'était habitué à ce phénomène assez déplaisant. Souvent, son agacement se traduit par un pincement aux lèvres, ou encore un ton désagréablement bas.

Que cela déplaise aux autres, Hell est une personne franche. Elle a souvent tendance à chantonner ou à rigoler pour rien. Les quelques fans de "The Londonners" ne se doute pas de la personnalité enfantine qui se cache derrière son look de rockeuse endurcit...
Elle aime rigoler, et sa bonne humeur est contagieuse.

« Regarde-moi rire de la vie, je l’aime et elle me le rends bien ! »

Elle déteste se sentir fragile, dépendante de quoi que ce soit, et ainsi elle passe son temps à se débrouiller seule, développant un caractère affirmé. Elle déteste être entourer de personnes trop sérieuses, voir même trop pessimiste. Hell s’efforce donc de faire plaisir à son entourage et à les mettre de bonne humeur.

« La vie est un jeu ! Et comme tous les jeux, pour gagner il faut parfois tricher. »

Contrairement à ce qu’on pourrait croire, pour emmener son groupe au sommet Hell n’hésite pas à utiliser de nombreux stratagèmes. Avec sa bouille de rockeuse, on se doute rarement que derrière son sourire angélique se cache une fine stratège et la plupart des relations qu’elle entretient en dehors de son groupe, ont toutes un but plus ou moins caché…

▬ Mon talent :

Le chant. J‘ai commencer à chanter à l‘âge de 6 ans accompagné de mon frère qui s‘occupait des percussions. Les gens riaient gentiment face à une fillette qui chantait. Il m‘a fallut quelques années avant d‘être enfin prise au sérieuse, et c‘est grâce à mon frère que j‘ai chanter pour la première devant un vrai public. Je ne sais pas vraiment comment « The Londonners » a été crée, c’était un peu comme une évidence qu’on étais tous les cinq fait pour jouer ensemble. Chanter, c’est venu naturellement. Je ne me suis jamais vraiment intéressé à des instruments, et je n’ai jamais vue l’utilité de prendre des cours de chant. Pourtant, j’avais de nombreuses fois été tentés par cette perspective, mais j’avais peur que cela ne soit plus aussi naturel, chanter.

Je suis la seule chanteuse de la famille, et c’est ce qui m’a valut d’être au cœur de l’intention pendant un certain temps. Je ne chante pas seulement, j’aime aussi écrire ce que je chante. C’est un peu comme si j’avais enfin la possibilité de mettre des mots sur ce qui est indéfinissables : mes émotions.
Je n’abandonnerai jamais le chant, être sur scène devant un public, c’est indescriptible. Magique. C’est comme si je me retrouvai en face de pleins de gens qui savent exactement ce que je penses, ce que je ressens. Sur scène, j’ai l’impression d’être « nue », sans artifice je me livre au public à travers des textes qui ont toujours une signification. Et lorsqu’ils y a des gens du public qui chantent avec moi, les chansons de « the Londonners » , il n’y a rien d’aussi beau. Ca me fait parfois frissonner, il n’y a pas de mot pour décrire ça.

let me rock ;
« i see your dirty face »

▬ Prénom / Surnom sur Internet : Ellie, et je garde mon prénom souvent en pseudo
▬ Age : 15 ans.
▬ J'ai connu LIR ... : Par hasard, sur Google. Et puis après, une amie m'a convaincu de m'inscrire en m'affirmant qu'il était bien . Je ne sais pas si elle sait déjà inscrite ou non °°
▬ Et ce qui m'a poussé à inscrire : Le contexte, et le joli design
▬ Présence : je suis en pensionnat, mais je fraude souvent pour aller sur l’ordi ^^ environs 4/7 , sauf pendant les vacances où je passe en mode geek xp
▬ Star sur l'avatar : Taylor Mommsen

▬ Mot-de-passe de la présentation :

Spoiler:

▬ Parcours dans l'Histoire :

Journal , Hell Anna Stanford

Ce n’est pas vraiment un journal. A vrai dire, je n’ai jamais vraiment su en écrire un. Il faudrait pour cela que je sache vivre au jour le jour, et que je garde la capacité de porter un regard attendri sur mon enfance banale, j’ai grandi dans une famille londonienne et musicienne accompagné d’un amour qui m’a apprit à vivre jour après jour avec un sourire dont je suis fier.
Mais je me rends compte que dans ce journal il aurait fallut que je raconte fièrement : mes premiers dessins, mon premier jour d’école, mon premier copain… d’insignifiantes choses assez ennuyeuses pour vous, des évènements que j’ai voulus croire unique, mais qui sont en faite les mêmes pour tous le monde.
Malgré tout j’éprouve une certaine complaisance à remanier le passé et à le décrire à ma façon, grâce à ce journal - qui n’en ai pas un -s , j’ai garder un regard rétrospectif sur ces choses insignifiantes. Si j’avais voulus décrire minutieusement mon enfance, vous auriez déjà arrêter de lire mon journal. Je me décrierai dans ces quelques lignes peut-être que par des discours lointains et des souvenirs précieux, personnels ou non.
Mais malgré mes hésitations, j’écrierai mon histoire. C’est promit.

J’ai vécu quelques années dans l’ombre de mon frère. Il m’avait précédé de quelques années, et s’était aussitôt réservé une place dans le monde - ce que moi, je n’avais pas su encore faire. - Je ne lui en veux pas, et je ne lui en ai jamais voulus. Cela me rassurait de le voir exercer sa passion pour la batterie. Je me disais que moi aussi, je trouverai un jour quelque chose qui me procurerait autant de plaisir. J’avais 5 ans et je le regardai jouer avec deux grands yeux émerveillés. - Je me laissais vivre, j’étais respectable et une enfant mignonne sans être pour autant très intéressante. Je n’ai pas su saisir les différentes opportunités, aussi insignifiantes étaient-elles, qui m’auraient permit de trouver ma voie. C’est d’ailleurs Wade, mon grand frère, qui m’encouragea à prendre le micro pour l’accompagner à la batterie. J’avais 6 ans à peine, et j’avais trouver ma passion. Les gens étaient touchés, trouvaient ça « mignon » de voir une fillette chanter. Ce n’est qu’à l’âge de 11 ans qu’ils ont commencé à croire réellement en mon potentiel.

Je ne parle pas vraiment de mon enfance, là. Ces moments bénis, les premières déceptions, les derniers espoirs, qui créer pleins de tendres anecdotes. Mise à part le chant, rien en particulier ne m’aura marquer. Et puis je n’ai pas vraiment, l’envie, ni le cœur à raconter mes souvenirs. A quoi cela servirait-il … ?

Avec le recul, je me souviens avoir toujours été proche de mon frère. Peut-être étais-ce à cause de notre passion pour la musique et le faite que j’étais la seule chanteuse de la famille ? Wade me lisait des histoires, et je m’évadais, porté par sa voix, fermant les yeux. Il inventait souvent des fins alternatives, des répliques loufoques, des incohérences qu’il aimait tant, parce qu’elles naissaient de sa propre créativité. Alors, j’ouvrais les yeux, les sourcils froncés, parce-que « c’était pas ça l’histoire ». Et il avait beau m’assurer que ce n’était pas grave, que cela ne changeait rien… je me sentais chaque fois, étrangement flouée.
Et puis un jour, je suis allée dans sa chambre. Je n’ai pas su discernée derrière son sourire le trac qu’il ressentait. Je l’ai juste contemplée, avec des yeux émerveillés - il en avait prit l’habitude, de me voir avec les yeux écarquillés - Wade me jeta une ou deux répliques qui me firent sourire et je cru bon de retourner dans ma chambre mais il m’invita à le voir resplendir, sur la scène… avec moi. C’est comme ça qu’a commencer le rêve de « The londonners »

C’est symptomatique, je vous l’assure. Ce journal qui ne devait pas en être un, sera finalement un journal. Et quand je parle de moi, je divague toujours sur la musique. Excusez-moi, j’avais promit de ne pas m’étaler sur mes souvenirs. Mais c’était plus fort que moi.

« J’aimerais réussir à créer de la beauté. A écrire à partir du monde, et à livrer une réalité autre, que je puisse enfin partager. »

Et c’est « The Londonners » qui m’apporta cette satisfaction. Au fur et à mesure de nos prestations, le groupe gagna un peu de notoriété. J’étais devenue amie avec chaque membre du groupe, bien qu’il y’ai souvent eut des disputes au sujet de « The Londonners », Scarlett, Trisha et fanny, des filles cool et sympathiques. Je ne pouvait pas espérer mieux.
Et l’envie de célébrité, de strass et de reconnaissance nous gagna tous, on en demandait chaque fois un peu plus. Mais ce n’était pas en restant à Londres que nous allions pouvoir gravir les échelons. Dans cette ville, il y’avait tellement de groupes, tous talentueux, qu’il était déjà difficile de trouver un bar où jouer régulièrement.

Las Vegas. Il fallait avouer que partir loin de ma ville natale était plus difficile que je ne l’aurais cru, sentimentalement parlant. Je m’étais déjà risquer aux ébauches de la jeunesse, toutes les limites et les contraintes que je m’étais fixer au commencement du groupe je les avais déjà dépassées depuis longtemps. Elles avaient attisé mon désir de l’excès, rock and roll. - Mais, sérieusement, vous connaissez beaucoup de gens qui peuvent se vanter d’avoir réussit à verser un peu de ses rêves dans une réalité triste et morne ? -
L’excès dans toute sa splendeur, même si Wade me surveillait attentivement…

Journal -qui ne devait pas être un journal-, de… Hell A. Standfort.

Je vous l’avais dis, c’est pathologique. J’étais partie avec l’intention de laisser flotter un peu de mystère sur ma vie avant « The Londonners » , mais finalement ce ne sera pas la cas. Mais qui sait ? Peut-être qu’un jour j’aurai mon propre livre autobiographique ? Et à ce moment là… vous aurez beaucoup d’autres choses à lire sur moi.

« Plonger dans les pensées d'une personne, c'est lire un bout de son âme »