Tyce McDevon { Completely mad -

Am I the main attraction? ;
« give it all up for me »

▬ Nom complet : Tyce McDevon
Tyce, est, en vérité, T.Y.C.E. et veut dire : Trevor Yiann Charles Émile. Pourquoi Émile? Sa mère était fan de la France, elle tenait absolument à lui donner un prénom français. Ses prénoms sont vieux et démodés? C'est normal. Chaque génération avant son père ont laissé un prénom pour le premier fils de cette nouvelle génération. Alors, pour la tradition, Tyce a trois prénoms, mais avec toute l'insistance de sa mè;re, il a hérité d'un quatrième. Toutefois, personne ne connaît ses prénoms et il se présente seulement sous celui de Tyce.

▬ Nationnalité, Date & lieu de Naissance : Irlandais, né le 23 décembre 1990 dans Sérénades, le plus prestigieux manoir irlandais de toute l'histoire.

▬ Mon avis sur Las Vegas : Las Vegas est une ville comme les autres. Elle st charmante, avec toutes ses lumières et ses activités nocturnes. Même si je suis un diurne, j'aime de plus en plus sortir la nuit. C'est fascinant de voir l'attraction que le gain d'argent ou une richesse instantanée peut provoquer chez les gens. Ils se ruent tous autant qu'ils sont dans les casinos. Ou alors c'est pour aller voir des concerts. Du rock. Bien que je préfère le bon vieux rock des décennies précédant la mienne, la musique ques les gens de mon âge peuvent faire est intéressante.

▬ Pourquoi " Let it Rock University " ? : Let It Rock University parce que j'ai déjà voyagé partout en Europe et dans le Canada. Je voulais voir à quoi ressemblerait ma vie si j'étais né avec l'énergie et le goût de l'aventure des jeunes Américains. Pour cela, j'aurais pu choisir New York, Boston ou encore Washington, mais comme j'apprécie la musique, j'ai fait mes recherches et quand j'ai découvert LIR, je me suis dit : « Pourquoi pas? Après tout, cette université ne doit pas être si fameuse pour rien! » Alors j'ai envoyé ma demande et je suis arrivé ici avant même d'avoir reçu mon acceptation, le temps de m'habituer à Las Vegas.

▬ Ma vie à " Let it Rock University " : Je passe, la plupart du temps, inaperçu. Je ne fais partit d'aucun groupe et je ne compte pas en créer un. C'est bien simple, je oréfère être seul quand il s'agit de musique. Si je fais carrière, ce sera seul ou bien avec ma soeur Joan. Je ne connais personne, enfin, si moi je les connais, mais eux ne me connaisse pas. Je suis le scours, je fais ma vie en dehors de LIR et dès que j'ai mon diplôme, je file en Irlande. J'ai beau dire, mon pays vert et tous ses mystères me manque beaucoup. D'un point de vue musical, quand je veux jouer, j'ai mon instrument avec moi dans mon logement ou bien je vais dans la salle appropriée. PAr contr,e je fais toujours attention à ce que personne ne me voit. Je ne veux pas être découvert. Je suis un fantôme dans l'université. On me voit mais personne ne se souvient de moi. Tandis que, de mon côté, j'observe attentivement, j'analyse puis j'attends. J'ai la patience d'un Ange. C'est ce que tout le monde m'a toujours dit.

▬ Mon groupe (si j'en ai) : Si j'en avais un, c'est bien certain qu'il serait formé de moi, de ma soeur et puis, peut-être bien, de son fiancé Hunter. Il porterait le très célèbre nom de Sérénades. Comme le manoir que j'ai quitté il y a environ deux mois après la fin de mes études secondaires.

▬ Traits de Caractère : Je ne crois pas être en mesure de me décrire psychologiquement de façon objective parce que je le sais bien, j'ai ce problème que l'on qualifie souvent de défaut et qui s'appelle un manque d'Estime de soi. Je me rabaisse pour remonter les autres, c'Est dans ma nature. J’ai appris à vivre en complimentant tout en refusant les compliments. Je vis de l'opinion des autres sans réellement la demander, elle me vient par leurs yeux. Je suis un décodeur d'Attitude ambulant. Je déchiffre la moindre expression, je décèle le moindre changement d'attitude. Il ne faut pas essayer de me berner. Je préfère, et de loin, que l'on blesse que l'on tente de me flatter tout en me poignardant par derrière. Me faire blesser me fait moins mal que quelqu'un qui me prend en pitié. Je déteste la pitié. Moi-même, je n'arrive même pas à avoir pitié des autres. Sans être méchant, je ne pense pas que je cache ce que je pense, même si cela peut paraître déplacé, tout ce qui me passe par la tête finit irrémédiablement par sortir par ma bouche. Toutefois, comme je suis souvent tout simplement dans des abîmes profonds et impénétrables, on peut dire que je suis assez lunatique. Je transmets tout dans mes mains et dans mes yeux, je me fiche pas mal que tout le monde puisse voir ce que je ressens, habituellement je n'ai aucun sentiment puisque que ceux-ci m'ont blessé par le passé. Maintenant, j'habite mon enveloppe charnelle comme une âme desséchée et je vis sans vivre. Je suis capable de faire passer des sentiments à travers tout ce que je fais ; chant, guitare, piano, batterie, mais la plupart du temps, on l'interprète mal parce que je ne joue pas si souvent que cela. Quelques notes décousues par-ci, quelques accords par-là. Les gens vont souvent croire que je joue mal, mais simplement, ils bloquent mon inspiration. Si je fais voir tout ce que je ressens à travers mes mains, je ne peux pas le faire passer par quelque chose quand cette même personne qui provoque ce sentiment est devant moi. Je dois lui communiquer à elle en premier lieu, ensuite, tout ira pour le mieux. On ne m'entend jamais me lamenter, me plaindre u bien gémir sur mon sort. J'ai la tête haute et je porte un masque de joie aussi inébranlable que ma foi en la Vie est profonde. Je ne me morfonds pas. Cela peut paraître contradictoire, mais je suis bien dans ce monde où je me berce d'illusions qu'un jour, je connaîtrais mieux. Je ne veux pas plus de richesses, je ne veux pas trouver l'âme sœur. Je veux simplement trouver ce que je suis réellement.[
/i]
▬ Parcours dans l'Histoire :
Serait-ce un mécréant que de dire qu’un Homme ne sera toujours qu’un homme? Non, bien sûr, mais, pourquoi, alors, ne peut-on justifier par cette déclaration que des gestes horribles, sanglants et surtout, inhumain soient commis? Parce qu’en fait, c’est un outrage et un vrai, de dire qu’un Homme ne sera toujours qu’un homme. Tous les Homos sapiens sapiens ne le restent pas toute leur vie. Certains ont la chance, ou le déshonneur, de se voir accorder un privilège que peu peuvent comprendre. Celle de revivre. La naissance d’un enfant est quelque chose de beau, de très beau, c’est la vie à l’état pure, alors qu’elle est encore innocente, limpide de tous les péchés humains. Mais, la renaissance, c’est une tout autre chose. Revivre déclenche en nous des émotions contradictoires. Notre cœur, selon son éducation, nous dira bien sûr de ne pas batailler, de simplement se laisser glisser, onctueusement, dans le néant total, certain qu’à un moment où un autre, la lumière se fera. Mais, notre esprit, livré à lui-même, séparé du reste du monde par ce noir troublant, ce silence de mort, va se battre. C’est grâce à notre esprit, à notre tête, finalement, que les autres renaissent. Ceux qui sont du cœur, qui ont des raisons que la raison n’a pas, ne survivent pas. Ils sombrent, ils écoutent une dernière fois leur cœur, mais sans jamais que la lumière se fasse. Ils meurent, une seule fois.

[i]Je suis, si on le prend de cette manière, né avec une cuiller d'or dans la bouche. Mon père est l'homme le plus riche de l'Irlande. Maître McDevon, le procureur de la Couronne de la Cour Supérieure d'Angleterre, principal conseiller du Juge de la Cour Suprême, lui-même conseiller intime de Madame la Reine d'Angleterre. Ma mère n'est pas en reste. Soin père est le Juge de la Cour Suprême. Ce n'est pas pour rien que nous avons pu nous offrir Sérénades. Sérénades a été nommé ainsi puisque c'est dans ce manoir que la première fille de mon ancêtre maternel a été courtisée par un de mes ancêtres paternels. Ce sont eux qui ont commencé la lignée aussi pure que raffinée des McDevon. Le premier McDevon de l'Irlande a été un conseiller au Roi d'Angleterre durant la Guerre de Sept Ans. Puisque tout le monde le sait, l'Irlande a toujours voulu se séparer de l'Angleterre, enfin, sa majeure partie, mais les McDevon font partie de ceux qui sont resté fidèles au Roi. Et moi aussi, je suis fidèle à ce Roi. Il n'y a pas de Dieu plus puissant que la Royauté anglaise et cette même Royauté a tous les pouvoirs sur la vie des Irlandais, selon moi. N'allons pas croire, pourtant, que je ne suis pas conscient de ma richesse ou de mon statut. J'en ai pleinement conscience et je remercie chaque jour la Vie de m'avoir tant chéri et choyé sans que j'ai à faire quelque chose.

Je n'ai pas toujours aimé vivre avec autant d'Argent. Durant mon enfance, mes parents préféraient me payer toutes les gouvernantes possibles plutôt que de s'Abaisser à jouer eux-même avec moi. J'ai grandi en compagnie des domestiques, surtout du chef cuisinier, Sebastian Thomas. Nous le surnommions S. Thomas, parce que c'était un gros homme qui adorait manger et cuisiner. C'était le meilleur de tous. Je me réfugiais dans ses appartements quand j'étais écœuré d'être avec une gouvernante. Sinon, je faisais les coups les plus pendables pour avoir l'attention de mes parents. Rien n'y faisait. Ils ont commencé à me remarquer quand, frustré, je suis entré dans la chambre de musique de mon père et que j'ai désaccordé toutes ses guitares de collection, que j'ai défoncé le tambour de sa batterie et que j'ai arraché tous les fils de ses caisses de sons. Ainsi, il s'est occupé de moi. Et je n'ai plus jamais recommencé. En parallèle, Wayland, le conseiller de mon père, était un fin musicien. Il jouait du piano pour moi, à la maison. Et j'ai voulu apprendre. C'est là que ma mère, qui avait la voix d'un Ange, et mon père, qui arrachait des sons incroyables à une guitare, se sont mis à m'aimer. J'apprenais la musique, je m'intéressais aux même chose qu'eux.

Mais avant de véritablement vous parler de moi, il faut que je vous parle d'une autre partie de moi. Ma sœur. Joan. Jane Ophelya Abygail Nathalina. Elle aussi, elle porte tous les prénoms des générations passées, mais du côté maternel de mon père, plus un nom choisis par ma mère, Nathalina. Parce que dans cette famille, les femmes sont les plus pures créatures qui soit. Elles sont dans cette lignée les pilons de la descendance et elles comptent plus que n'importe quel garçon. Parce que se sont elles qui vont donner les nouvelles générations. Ma sœur, donc, Joan, est née avec toute l'affection que mes parents ne m'avaient jamais donnée. Pour moi, c'était une trahison de la part de mes géniteurs. Je n'en ai jamais voulu à ma soeur, mais je faisait tout pour qu'elle me préfère à eux. J'avais déjà appris à joué plusieurs instruments quand il me fallu partir pour le collège. Ça été très dur pour moi de laisser ma petite soeur d'à peine sept ans toute seule avec mes parents. Ils s'occupaient d'elle jusqu'à ce qu'elle soit saturée d'amour, puis la laissait faire tout ce qu'elle voulait. Mais, malgré cela, j'étais gagnant. C'était moi qu'elle appelait la nuit quand elle faisait des cauchemars. C'était moi qu'elle appelait quand elle s'était fait mal. C'était à moi qu'elle confiait tous ses secrets. Mes parents, bien qu'ils m'aiment pour mes talents musicaux, m'ont détesté pour leur avoir ravi leur fille. Il ne me l'ont jamais pardonné. D'ailleurs, quand Joan a formulé le désir de venir me rejoindre, trois ans après, dans le même collège puisque cet établissement scolaire accueillait les enfants de 10 ans et plus, mes parents lui ont refusé.

Aussitôt, ça été la rébellion. Joan me voulait moi, pas eux. Cela les a terriblement blessés, alors ils ont fini par accepter qu'elle vienne me rejoindre. Alors, tout s'Est très bien déroulé. J'ai découvert qu'avoir de l'argent était très amusant dans un collège où tout se paye, même le plaisir. J'ai eu ma période de nymphomanie, mais personne ne s'en plaignait vraiment, j'étais bien élevé et je me faisais discret. Encore une fois, pourtant, personne ne savait vraiment qui j'étais, au contraire de ma sœur, Joan! À 16 ans, elle était déjà fiancée à un jeune homme de 20 ans. Et c'était un professeur au Collège. Quand j'ai obtenu mon diplôme, 6 ans plus tard, j'ai tout de suite décidé de changer d'air. J'ai envoyé des demandes d'acceptation dans plusieurs universités et j'ai été accepté partout, mais celle que j'ai choisi, au grand damn de mes parents et la satisfaction de ma sœur, c'est Let It Rock, à Las Vegas. Je voulais montrer à mes parents ce que pouvait devenir un McDevon qui décidait de faire sa propre vie sans choisir le chemin déjà tracé, c'est-à-dire ; le droit. Je détestais au plus haut point, et je déteste encore, le métier d'avocat ou de procureur, peu importe ce que cela comporte comme avantage sociaux. Je déteste les complets. Je préfère m'habiller comme je veux, et surtout, quand je le veux.

▬ Mon talent : Je n'ai pas de don. Je ne peux pas croire que j'en ai, du moins. Il est vrai que je suis agile sur les cordes d'une guitare sèche, mais dès que j'accroche du bout de la pensée une qui soit électrique, le talent que j'ai accumulé fond littéralement. Mes sons grésillent et sont confus, je n'arrive plus à reproduire les mêmes notes que ceux que j'ai créés sur ma guitare. La même chose au piano. Quand je joue du vrai, du Mozart, du Bach ou encore du Beethoven sur un piano à queue, je suis heureux, je suis concentré, mais dès qu'il s'agit d'un clavier synthétiseur, je perds mes repères. Décidément, je ne suis pas fait pour jouer d'un instrument dans un groupe de musique. Je pourrais toujours me replier sur la batterie puisqu'il n'y a pas de différence entre jouer de la batterie pour soi seul ou bien jouer de la batterie pour un groupe. Vrai. Mais que faire quand j'oublie tout ce que j'ai appris dès qu'il y a des gens autour de moi? Parce qu'il ne faut pas se le cacher, le batteur est souvent à l'arrière tandis que les guitaristes sont en avant avec le chanteur. Eh bien, chante alors nom de Dieu, me direz-vous tous, comme chaque fois que j'explique mon problème. Je me dit, oui, pourquoi pas. Et j'essaye. Et je réussis. C'est la seule chose que je réussis à faire en public. Chanter. Malheureusement, ma voix un peu rocailleuse et forte ne plaît pas toujours à tout le monde. J'essaie de m'adapter, de chanter plus doux, mais tout ce que je sais faire sinon, c'est chanter aigu.

let me rock ;
« i see your dirty face »

▬ Prénom / Surnom sur Internet : Bianca ou bien Bibi, sur l'Internet j'ai plusieurs surnoms, mais celui que je préfère c,est Virus_404, je sais pas pourquoi
▬ Age : 15 ans, 16 en janvier
▬ J'ai connu LIR ... : en cherchant
▬ Et ce qui m'a poussé à inscrire : je cherche pas des RPG pour rien XD
▬ Présence : Tout dépendra de mon humeur, je ne m'engage pas à répondre dès que vous l'Avez fait. Je veux garder une certaine liberté. J'ai quitté sans pré-avis les autres forums où j'étais parce que je m'en étais lassée, à force je sentais comme une pression si je ne répondais pas immédiatement. ( 4/7 jours)
▬ Star sur l'avatar : Wentworth Miller
▬ Mot-de-passe de la présentation :

Spoiler:

Bienvenue Tyce !

Merci

Je sais pas si on a le droit, mais j'ai pas pu résister Razz

J'ai besoin de beaucoup d'occupation sur un forum, sinon, je lâche ^^ Alors j'ai déjà un deuxième compte XD

Oh la je sais pas si t'as l'droit par contre ...

validé

Merci! Eh bien, c'est très gentil Razz

Je rajoute les 2 lignes. Non, je n'ai pas d'avatar, mais normalement, j'en aurai un dans quelques minutes Razz

qu'est-ce qu'il est beau ce mec *___*
re-bienvenue. (A)

Merci ^^

Bon bien je suppose qu'il y a le même problème, même solution. Je suppose que tu as le droit d'être validée, mais j'attends l'avis de Bill.

D'accord merci beaucoup =D

VALIDÉE !

Bienvenue sur LIR (en retard :O)
J't'ajoute à ton groupe de suite, désolé xD

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